Une belle fin d'après-midi... [PV Len]

Dimanche ! Eh oui, dimanche était arrivé et, ce jour-là, je fermais à seize heures au lieu de fermer à vingt et une heures comme les autres jours (je fermais tard puisque, parfois, des gens se rendant à un repas galant passaient pour acheter quelques fleurs). Enfin, seize heures étaient là. Je replaçai tous mes outils à leur place, je vérifiai une dernière fois que j’avais bien entretenu toutes mes plantes puis je mis la pancarte du côté « Fermé », verrouillai la porte de la boutique et passai par ma demeure pour me laver les mains avant de sortir, de verrouiller la porte arrière (celle de ma demeure) et, enfin, de partir vers la plage. Je marchai un petit moment et arrivai finalement devant l’océan. Je retirai mes sandales de paille et, les deux pieds dans le sable, je m’avançai, le regard émerveillé. Je n’avais vu une pareille étendue d’eau qu’une seule fois auparavant, et même là celle que j’avais vue n’était pas si grosse, on voyait l’autre côté, au loin. Tandis qu’ici, le plus loin qu’on voyait restait de l’eau. Une belle eau très propre en apparence, mais je savais qu’elle contenait des bactéries, comme toutes les autres eaux. Je m’approchai du bord de l’eau et m’accroupis pour tremper une main dedans. Elle était chaude. Je m’assis finalement sur le sable et souris.

- C’est tellement beau… je crois que je vais aimer vivre dans le coin…

Jusqu’à présent, j’avais connu la forêt et les routes. Désormais j’allais pouvoir connaître autre chose, quelque chose qui semblait pour l’instant très prometteur.

Des gens passaient derrière moi, des enfants jouaient dans l’eau, mais je ne les entendais ni ne les voyais. Au bout d’un long moment, je sortis de ma contemplation et me levai avant de commencer à marcher sur la plage. Je ne regardais qu’à peine devant moi, trop fascinée par le paysage, et c’est ainsi que je fonçai dans quelqu’un. Légère comme une plume, je tombai vers l’arrière et me retrouvai les deux fesses sur le sable. Alors que certains auraient commencé à jurer, moi, je me contentai d’éclater de rire.

- Désolée, je ne regardais pas devant moi !

J’étais désolée, oui, mais c’était quand même drôle que je sois la seule à avoir été bousculée. Mais il était vrai que j’étais vraiment, vraiment légère… et toute petite aussi.

- Je suis Tomoe, et vous ?

Len avait vraiment besoin de repos après tous était pas si facile que cela de gérer une ferme a lui tous seul, alors dans la soirée se mit a rentré chez lui pour aller pendre une douche pour se remettre et détendre un peu ses muscles qui faisait encore un peu mal, puis se mit a prendre une tenue assez simple a savoir une chemise blanche et un pantalon noir avec des chaussures aussi noir et sortit pour se demander a lui même :

*Je me demande ou aller, après tous pourquoi pas la plage pour me détendre rien de mieux que la plage.*

Il se mit a rire et commença a marcher en direction de la plage et une fois sur le lieu regarda la vue sans bouger d'un pouce, mais voila une personne lui rentra dedans pour tomber sur les fesses et rire un coup. Len pensait qu'elle serait plus en colère que autres choses pour l'entendre demander pardon comme regardait pas devant elle. Le jeune homme tendit sa main vers elle pour l'aider a se remettre debout et lui répondit en même temps :

"J'aurais dû aussi vous voir arriver, ou alors on est tous les deux fautifs et puis voila."

Len se mit a rire un peu avant de l'entendre se présenter sous le nom de Tomoe en demandant aussi le siens pour lui dire avec un sourire :

"Je me nomme Len Kagamine, on dirais que je suis pas le seul a avoir eu l'idée de se détendre en regardant la mer et vous travailler dans quoi demoiselle charmante ?"

Il ferma les yeux pour lui sourire et il est vrai que Tomoe était d'une assez grande beauté et donc ne dis pus un mot attendant une réponse de sa part.

Il m’aida à me relever. J’acceptai volontiers son aide et attrapai la main qu’il me tendait. Une fois debout, je l’observai. Tous deux fautifs ? Pourquoi pas ! Cette perspective, comme n’importe quelle autre, n’avait rien pour me déplaire. Comme vous pouvez le constater, je suis peu difficile à ce sujet x). Il s’appelait donc… Len Kagamine. Je trouvais ça mignon, comme nom. Len… Il avait lui aussi décidé de venir se détendre à la mer. Quelle « coïncidence »… normalement, quand on venait à la mer, on se détendait… non ? Bon… euh… il me demandait dans quoi je travaillais ? Et il fermait les yeux ? Et il souriait ? Normal ou pas ? Je répondis, tout doucement :

- Je suis fleuriste, je travaille à la boutique nouvellement ouverte, Au Petit Bourgeon. Normalement, je ferme assez tard, sauf le dimanche où je ferme à seize heures, alors je ne peux venir ici que très rarement… en fait c’est la première fois que je viens à la mer. Et vous ? Dans quoi travaillez-vous ?

C’était la plus élémentaire des politesses que de retourner la question, selon moi. Ça montrait que l’on était intéressé à en apprendre sur l’autre, quoi…

[Down d’inspi, sorry ^^’]

Il se mit alors a tendre sa main dans l'idée de faire relever la jeune fille qui très vite lui là pris pour se remettre debout et donc attendit un moment en silence avant de lui demander son domaine au niveau de son travail, alors la jeune fille se mit a lui répondre assez vite et lui même suivit juste après :

"Oh, je suis déjà passer plusieurs fois devant votre boutique a part que a chaque fois je n'avais pas le temps étant assez pris par les évènement chez moi si on peux le dire comme ça."

Len garda son sourire encore un peu avant de rajouter sur l'instant oubliant d'avoir parler de son métier :

"Pour vous répondre je suis en faite un fermier et donc assez normal que très peux de temps pour me reposer et quand je peux le faire je me met a marcher ici, mais pas toujours possible malheureusement."

Il se mit encore une fois sourire en la regardant et laissant le vent passer dans ses cheveux violet attendant de trouvé un sujet de discutions.

Il était déjà passé devant la boutique ? Je n’en étais pas vraiment surprise, j’étais installée dans un coin assez passant alors les gens passaient souvent devant ma boutique, mais ils n’y entraient pas si souvent, on n’a pas besoin de fleurs tous les jours après tout. Mais puisque j’avais aussi des plantes que l’on pouvait mettre dans un jardin pour faire joli, j’avais plus de clientèle que la plupart des boutiques qui ne vendaient que des fleurs coupées. Ça remplissait bien mes journées et je me couchais chaque soir remplie de satisfaction d’avoir bien travaillé durant la journée. En effet, je ne me ménageais pas. Quand je ne m’occupais pas d’un client, je virevoltais entre mes plantes, les arrosant, les taillant, les embellissant, et je faisais aussi un peu de ménage en plus de créer des bouquets et de les mettre à part dans un rack réservé uniquement aux fleurs coupées. Souvent, je coupais les fleurs selon les demandes de mon client au lieu de les couper en avance. Je préparais le bouquet en quelques minutes, sans me soucier des épines qui ornaient parfois les tiges de certaines fleurs comme les roses, puis je tendais les fleurs fraîchement coupées à mon client, qui me payait, et dès qu’il sortait je me remettais à danser entre mes plantes…

Mais bon, aucun rapport ave ce qu’il se passait, là. Le jeune home rajouta qu’il était fermier, et je compris alors pourquoi il avait peu de temps pour relaxer. Entre le train, les soins, les foins et tout le reste, il n’y avait que peu de liberté pour un fermier. Et quand il le pouvait, il ne désirait pas nécessairement venir se perdre dans la forêt qu’était ma boutique…

- Ah, d’accord, je comprends. Êtes-vous seul à travailler sur votre ferme ? Si oui, vos journées doivent être drôlement chargées… Et si on marchait un peu ? Moi j’aime bien marcher sur le bord de la mer, les deux pieds dans l’eau, le bruit des vagues autour de moi… et vous ? Qu’aimez-vous de cet endroit ?

Chaque personne avait ses raisons d’aimer la plage. Souvent, c’était pour la chaleur. Moi c’était pour ce que j’avais énuméré. Et lui ? J’étais curieuse et je le savais. Mais s’il ne désirait pas répondre, cela ne me dérangerait pas, après tout chaque personne a droit à ses envies aussi.

Len était en effet passé devant la boutique pour se rendre chez une personne qui lui avait demander de venir la voir pour lui demander un service, mais aussi autre choses pour alors regarder encore un peu la jeune Tomoe avec un sourire et l'écouta alors lui demander si était seul ou pas dans sa ferme, puis d'autres choses aussi sur le pourquoi il venait ici ou aimait venir là. Il est vrai que Len était seul dans sa ferme et donc devait se lever assez tôt, alors sans trop faire attendre la jeune fille lui répondit avec un sourire :

"Il est vrai que je suis effet seul pour gérer ma ferme pour très peux de moment de repos et sais même très rare que je réussi a le libérer pour venir ici. Avec plaisir pour marcher avec vous et pour répondre a votre question je viens souvent le soir pas très tard afin de voir le couché de soleil qui est vraiment très beau sur la mer."

Le jeune homme se mit alors très doucement en route pour sourire encore une fois a Tomoe qui a vrai dire était la seul fille a qui il réussi a parler comme justement n'avais pas assez de temps libre pour cela, après peux être qu'il prendra une journée de repos pour rencontrer d'autres personnes et faire pleins d'ami(e)s et qui sais peux être le grand amour.

Je ne répondis rien. Il n’y avait rien à répondre… et le silence était drôlement doux. Je me tournai bientôt vers la mer, le soleil se coucherait dans environ une heure. Personnellement, je me proposais d’attendre que le soleil soit couché avant d’aller faire un tour au resto-bar de la plage, là où travaillait un de mes clients. Quant à cet homme que je venais de rencontrer, ce Len… peut-être viendrait-il aussi. Mais, s’il ne désirait pas venir, cela ne me dérangeait pas.

- Ce soir, je vais regarder le soleil se coucher, puis ensuite j’irai faire un tour au resto-bar. J’ai un client qui y travaille. Si vous le désirez, vous pourriez vous aussi venir…

Je pensai soudain au fait que j’avais oublié d’emporter de l’argent avec moi. Bon… soit je retournerais à ma demeure avant d’aller au resto, soit je proposerais à Makoto de lui laisser une commande gratuite de ses bouquets de roses en échange d’un repas. Mais la première option me semblait plus sûre…

- Vous êtes dans le coin depuis longtemps ?

Question pas rapport mais bon…

Il laissa le silence prendre la place dans se lieu vraiment très beau surtout que le soleil allait pas tarder a faire place a sa soeur la lune et donc se mit a sourire quand même sur l'instant, puis la jeune Tomoe se mit une nouvelle fois a lui parler et écouta sa proposition qui suivit afin de répondre :

"Je vais donc vous tenir compagnie pour la soirée et j'accepte aussi de venir avec vous dans le resto-bar que vous venez de dire, après tous je vais prendre ma soirée étant bien mérité aussi."

Len avait garder son sourire et se dit qu'il avait eu de la chance de prendre un peu d'argent pour prendre un verre ou peux être un repas sachant pas les prix non pus, alors Tomoe se mit a lui poser une question et donc lui dit après :

"Je suis ici depuis mon enfance, en faite mon père était fermier avec ma mère et donc j'ai pris la suite."

Le jeune homme avait toujours aimer être fermier et donc raison de plus pour réaliser un rêve de gosse comme on dit.

Je laissai mon regard se perdre doucement dans les flots tranquilles, puis je murmurai :

- Alors j’irai faire un tour chez moi pour me prendre un peu d’argent, je n’avais pas pensé à aller visiter ce… Makoto. Je n’en prendrai pas excessivement… même si je n’ai aucune idée de ses prix, je suppose qu’au pire il me laissera lui offrir une commande gratuite de bouquets de roses si jamais je n’ai pas pris assez d’argent.

Puis Len expliqua qu’il était là depuis son enfance puisque son père et sa mère étaient fermiers et qu’il avait ensuite continué à s’occuper de la ferme à leur place. Je hochai la tête, je ne semblais pas l’écouter mais je l’écoutais. Il avait eu de la chance de vivre dans un monde normal. Moi, contrairement à beaucoup, j’avais toujours vécu dans des lieux qu’on ne pourrait jamais juger « normaux ». Un cabanon en pleine forêt, les routes, une auberge une fois de temps en temps… tout ceci avait fini par me rendre totalement différente de la communauté humaine. J’étais une exception, et ce mot n’était pas utilisé dans un sens mélioratif en parlant de moi. J’étais une exception au sens ch**** du terme. Je comprenais à peine ce que les gens ma racontaient, parfois. Si quelqu’un me parlait de tours à bureaux, je me perdais dans un coin de ma tête en tentant de comprendre en vain.

- Vous êtes chanceux d’avoir vécu ici depuis votre enfance… Vous, au moins, on pourrait qualifier votre vie de « normale »…

J’eus un léger sourire mélancolique en me rappelant ce qui m’avait servi de vie jusqu’à présent…

Len regardant encore un peu la jeune fille se mit a regarder après la mer sans trop parler pour entendre pas grand chose qu'elle marmonnait tous bas, alors il se mit a chercher un sujet de discutions pour demander juste pour savoir comme ça :

"Dite moi, vous connaissez bien les lieux ou alors vous êtes déjà d'ici car sinon pourrais vous faire visiter d'autres endroits assez beau que je vais voir dans mes moments de liberté si on peu dire comme ça."

Il se mit a rire juste un peu et puis tourna le regard vers la jeune fille quand elle se remit a parler et son sourire disparue sur le coup pour alors répondre sans trop faire attendre non pus :

"Ah bon, je voulais pas faire remonter de mauvais choses dans votre mémoire désoler encore."

Le jeune homme ne pouvais pas savoir si était normal ou pas sa vie a la jeune fille et rajouta après :

"Vous voudriez voir ma ferme peux être un jour quand vous serez libre ou pas, je serais ravi de vous accueillir."

Len disais vrai sa fait toujours du bien de connaitre des gens et avoir de la visite chez lui qui était assez rare.

Je secouai doucement la tête avec un sourire.

- Non ça va, c’est normal… Et pour répondre à votre question, j’aimerais bien visiter, oui, je suis assez nouvelle dans le coin, et depuis mon arrivée j’ai surtout vu ma boutique et les tonnes de plantes qu’il y a dedans…

Je tournai les yeux vers lui quand il me parla de sa ferme :

- Votre ferme ? Mais bien sûr que j’aimerais venir voir ! Avez-vous beaucoup d’animaux ? Et quelles races ? Des vaches probablement, mais les autres ? Désolée, je ne connais rien à la ferme alors je pose beaucoup de questions…

Une lueur bien curieuse s’était allumée dans mon regard, après tout s’il acceptait de me parler de sa ferme, cela me permettrait d’en apprendre plus. C’était une des raisons pour lesquelles j’aimais rencontrer de nouvelles personnes, ainsi j’apprenais toujours plus sur plein de sujets…

Il avait quand même par bonté proposer a la jeune fille de lui faire visité la ville et les différents lieux pour alors écouter sa réponse avec un léger sourire et puis a son tour ajouta a la suite :

"Je serais vraiment très ravi de vous faire visité la ville après tous pour une fois que je peux me rendre utile, je suis aussi sûr que vous allez très bien vous plaire parmi nous."

Len avait aussi proposer de visiter sa ferme et la jeune Tomoe avait l'air très presser de la voir et posa beaucoup de question, assez normal si on connais rien a le ferme et donc le jeune homme garda son sourire répondant :

"Pas besoin de dire pardon et pour répondre j'ai les animaux de base a savoir vache et poule pour le lait et des oeufs se qui est assez normal en faite, mais je pense aussi prendre un chien et un cheval vous vous doutez peux être pourquoi."

Le jeune encore souriant la regardant encore et toujours dans les yeux tourna un peu la tête vers le soleil couchant sans trop savoir quoi dire de plus.

Mes yeux s’agrandirent doucement quand il me parla de ses animaux. Vaches et poules ? Bah c’était déjà pas mal, personnellement je n’aurais jamais été capable de garder le rythme avec une seule sorte d’animaux, alors imaginez deux sortes, et il avait probablement plus d’un membre de chacune de ces espèces…

- Vous êtes courageux d’avoir une ferme, je trouve. Déjà que vous êtes tout seul, vous avez deux sortes d’animaux, ça doit pas être trop facile à gérer… Vous avez combien d’animaux de chaque espèce ?

Je me rendis compte que je l’avais coupé et portai une main à ma bouche, comme pour me dire à moi-même de me la fermer pour qu’il puisse continuer. Et en effet il poursuivit. Un chien et un cheval ? Eh ben ! Pour le chien, bien sûr c’était le meilleur ami de l’homme selon plusieurs, et pour le cheval, c’était un moyen de transport plus rapide qu’à pied. Je n’avais jamais vu de cheval de toute ma vie à part sur des images, je me demandais c’était gros comment…

- En tout cas je vous souhaite bonne chance si vous vous achetez un cheval et un chien, je ne vois pas vraiment comment vous réussissez à survivre à vos journées de travail mais bon… Ne le prenez pas mal, c’est un compliment.

Puis je me tournai vers le soleil, il se couchait. Je souris et l’observai descendre en silence, et une fois le « spectacle » presque fini, je me tournai de nouveau vers Len.

- Bon, on va au resto ? Je dois aller chez moi me chercher un peu d’argent avant, vous voulez venir ou vous m’attendez ? Ça ne sera pas long, vous feriez peut-être mieux d’aller réserver une table pendant qu’il en reste encore en m’attendant, qu’en dites-vous ?

Je ne disais pas ça pour fausser sa compagnie, loin de là, mais s’il venait avec moi, il faudrait qu’il m’attende au bord de la porte de ma boutique de toute façon à cause de la végétation très abondante près de la porte de l’arrière-boutique. Et ma demeure se trouvant justement dans l’arrière-boutique, ou du moins dans une partie de celle-ci en plus de quelques autres petites pièces adjacentes…

Len continuais encore et toujours de parler pour répondre a sa question qui était pas vraiment fini en faite, alors il écouta la jeune fille parler pour se mettre a sourire sur le coup répondant très vite a sa nouvelle question :

"Merci de me trouver courageux, mais pour le moment j'arrive très bien a la gérer tous seul. Le nombre d'animaux, en faite comme était a mon père on peux pas vraiment dire qu'ils soient a moi. J'ai deux vaches et deux poules qui donne du bon lait ou oeufs, après tous je vous ferais gouter un jours ou vous en donnerais."

Il ne redit pus rien pour la voir avec la main sur sa bouche et puis redit une chose quand elle avait entendus cheval et chien, alors Len entendit encore la jeune Tomoe redit autre chose qui était un compliment il parait rajouta avec un sourire alors :

"Je suis sûr d'arriver a tous gérer en plus des journées de repos, mais bon je prend votre encouragement quand même et puis au pire je sortirais en soirée après le travail."

Le jeune garçon pouvais en effet prendre du repos le soir et sortir, alors pour le moment il regarda le ciel se coucher avant de sentir le regard de Tomoe sur lui, Len la regarda dans les yeux aussi avec un sourire répondant après elle :

"Peux importe, je peux très bien aller au restaurant pour la table si vous le voulez car je pense pas que vous aillez besoin de moins pour l'autre choix."

Il ne dit pus un mot restant dans le silence le plus total attendant une réponse ou geste de la part de Tomoe.

Je penchai doucement la tête sur le côté quand il répondit à ma nouvelle question :

- Merci de me trouver courageux, mais pour le moment j'arrive très bien a la gérer tous seul. Le nombre d'animaux, en faite comme était a mon père on peux pas vraiment dire qu'ils soient a moi. J'ai deux vaches et deux poules qui donne du bon lait ou oeufs, après tous je vous ferais gouter un jours ou vous en donnerais.

Je lui souris, contente, ce n’était pas nécessaire qu’il m’en donne mais s’il le faisait j’allais le remercier, bien évidemment, et en retour je lui donnerais une de mes amaryllis, ces magnifiques fleurs qui étaient mes préférées, allez savoir pourquoi.

Puis il me parla de chien et de cheval, je lui dis qu’il était vraiment courageux, et il répondit :

- Je suis sûr d'arriver a tous gérer en plus des journées de repos, mais bon je prend votre encouragement quand même et puis au pire je sortirais en soirée après le travail.

Je hochai doucement la tête, c’était important de prendre du repos après une journée bien chargée. Évidemment, ceci s’appliquait aussi à moi, mais je m’étais habituée au fil des ans à supporter une vie remplie et sans trop de temps pour souffler. Le résultat ? Il m’arrivait, durant mes journées de travail, de virevolter d’une plante à l’autre, de m’arrêter le temps de m’occuper d’un client, de retourner à mes plantes une fois le client parti et même d’oublier de manger sur l’heure du midi par manque de temps. Mais cela ne me dérangeait pas, à force d’errer jusqu’à trouver cet endroit, je m’étais habituée à la faim. Makoto ne serait certainement pas ravi de savoir ça, après tout il était chef cuisinier donc il mangeait bien, mais que voulez-vous, c’était mon métier et j’adorais ça.

Puis quand je parlai qu’il était peut-être temps d’aller au resto, je lui proposai des options et il décida d’aller réserver la table. Je hochai doucement la tête puis m’inclinai :

- Merci beaucoup, je ne serai pas longue.

Et sans attendre je filai à toute vitesse vers ma demeure. J’entrai, allai me chercher de l’argent et ressortis sans oublier de verrouiller la porte. J’avais pris une bonne quantité d’argent alors ça ne serait pas un problème pour payer ce que j’allais manger, tant que les prix n’étaient pas exorbitants, évidemment.

Je me rendis rapidement au resto et allai rejoindre Len.

- Voilà ! Je n’ai pas été trop longue ?